Commencée comme un journal de bord de la vie quotidienne pendant la pandémie, cette œuvre fait partie de la série intitulée « A Year, A Garden, A Feeling » (une année, un jardin, un sentiment) qui capture la domesticité et la routine des premières années de la pandémie, le quotidien servant d’élan à la création. Les éléments répétitifs comme les tapis, les planchers de bois, les fenêtres, les plantes d’intérieur et les chemins extérieurs font partie intégrante de cette réalité de l’isolement, mais aussi de l’unité, de la communauté et de l’appartenance.

Started as a continuous pandemic diary of domestic life, this work is part of a series called “A Year, A Garden, A Feeling’ which captures domesticity and routine during the early years of the pandemic, with the everyday providing the impetus for creation. Repetitive elements such as carpets, hardwood floors, windows, house plants, and external paths are integral to this reality of isolation, yet there is also togetherness, community, and belonging.