« Ces petits demi-cercles planants, doublés et courbés, suggèrent non pas un monde ordonné, mais son inverse : l’incertitude, l’absence d’axe », suppose la journaliste et écrivaine Megan Garber. «...
« Ces petits demi-cercles planants, doublés et courbés, suggèrent non pas un monde ordonné, mais son inverse : l’incertitude, l’absence d’axe », suppose la journaliste et écrivaine Megan Garber. « En cela, les guillemets d’ironie sont élégamment révélateurs du moment qui les a engendrés. Ils forment la ponctuation de l’âge de la postvérité, ou plutôt l’âge de la “postvérité”. » À la manière d’une paire de guillemets, Coquilles met en relief la subjectivité permise par ces nouveaux codes communicationnels.
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“These small, hovering semicircles, doubled and curved, don’t suggest an ordered world, but rather its opposite: uncertainty, the absence of an axis”, suggests journalist and writer Megan Garber. “As such, these ironic quotation marks elegantly reveal the moment that brought them to life. They are the punctuation of the post-truth age, or rather, the “post-truth” age.” Like a pair of quotation marks, Coquilles highlights the subjectivity that is allowed through these new communication codes.